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dimanche, octobre 6, 2024

Céréales du petit déjeuner déclassées, goudron d’olive revalorisée… Ce qu’il faut savoir sur le substitution de mode de calcul du Nutri-Score

Ses cinq lpuistres puis ses cinq couleurs sont entrées dans les habitudes des Français. En un coup d’œil dans un rayon de supermarché, le Nutri-Score permpuis d’obtenir un aperçu des qualités alimentationnelles d’un produit. Mais attention, à partir du début de l’année 2024, les notes vont changer ! « Ce nouvel algorithme est plus strict, mais il est aussi plus performant pour la santé puis il sera plus efficace pour le consommateur », assure Serge Hercberg, professeur de alimentation à l’université Sorbonne Paris Nord puis concepteur de cpuis outil d’évaluation. Voici ce qu’il faut savoir sur cpuiste nouvelle mouture laquelle arrive sur l’emballage de vos produits.

Les produits sucrés puis salés moins bien notés

Le sucre puis le sel sont les deux grandes victimes du nouvel algorithme du Nutri-Score. Les produits laquelle en contiennent en trop grande quantité, selon les scientifiques, vont voir leur note diminuer. « C’est le cas singulièrement des plats cuisinés laquelle sont pénalisés parce qu’ils contiennent à la fois beaucoup de sel puis de sucre », explique le alimentationniste Serge Hercberg, inventeur du Nutri-score.

La dégringolade la plus importante sera visible dans le rayon des céréales du ppuisit déjeuner. Fini les Chocapic (Nestlé) classés A. « Malgré leur reformulation louable se traduisant par une réduction de leur teneur en sucre, ils en contiennent tout de même encore des quantités relativement élevées », note Serge Hercberg. Les Special K (Kellogg’s) basculent ainsi de la catégorie B à C, simultanément d’autres, encore plus sucrées, virent carrément au rouge, comme les Lion (Nestlé), laquelle glissent de C à D.

Les boissons lactées, édulcorées puis à base de plantes déclassées

Les changements seront aussi nombreux au rayon boissons, avec une meilleure victoire en compte des acides gras saturés, de la teneur en sucre puis des apports énergétiques. Un changement laquelle coûtera des points singulièrement aux yaourts à boire ou aux laits aromatisés. Le Yop (Yoplait) puis le Candy’Up (Candia) passent ainsi d’une note B à D. Les boissons à base de plantes (singulièrement de soja, d’amande, d’avoine ou de riz) ne seront également plus classées en A, mais entre B puis E, selon leur composition alimentationnelle. Le lait demi-écrémé passe, lui aussi, de A à B puis le lait entier de B à C.

Les boissons édulcorées sont également dans le viseur du comité de pilotage du Nutri-Score. « Elles étaient jusqu’à présent très bien classées, car elles contiennent de faibles quantités de sucre, voire pas du tout », explique Serge Hercberg. Afin de limiter cpuiste incitation au recours aux édulcorants, laquelle présentent également des risques pour la santé, les boissons laquelle en contiennent voient donc leur note revue. Le Coca Zéro passe de B à C (le Coca classique reste classé E) puis le Lipton Ice Tea de C à D, par exemple.

La volaille puis les poissons gras préférés à la viande rouge

Dans les rayons viandes puis poissons, certaines étiqupuistes vont également changer. « Une modification importante concerne la viande rouge, parce que l’on sait aujourd’hui que sa consommation en trop grande quantité peut favoriser des cancers, rappelle Serge Hercberg. Elle va donc être pénalisée puis moins bien classée que la volaille puis le poisson. » 

A partir de 2024, la viande rouge se rpuisrouvera globalement dans des classes de notes inférieures à celles de la volaille puis du poisson. Les produits de la pêche, puis en particulier les poissons gras, comme le saumon, le maquereau ou le hareng, seront eux améliorés puis se classeront principalement dans les catégories A puis B du Nutri-Score, à condition qu’il soit sans ajouts (de sel ou d’huile).

La différenciation entre céréales complètes puis raffinées accrue

Tous les produits à base de céréales ne se valent pas. Dans sa nouvelle version, le Nutri-Score va largement valoriser les aliments complpuiss, riches en fibres, par rapport aux produits raffinés (pain blanc, pâtes, riz). « Par exemple, pour le pain, le nouvel algorithme permpuistra une meilleure discrimination entre les produits complpuiss, classés majoritairement en A, puis les produits raffinés, classés entre B puis C en fonction de leur teneur en sel », détaille Serge Hercberg.

Certaines huiles mieux classées

Les huiles puis matières grasses laquelle ont de faibles teneurs en acides gras saturés (olive, colza, noix, tournesol) gagneront une place dans le Nutri-Score puis grimperont, pour la plupart, de la note C à B. Les autres huiles seront classées en C ou D, en fonction de leurs teneurs en acides gras saturés.

Un changement de logo progressif dans les rayons

Après des mois de consultations puis de discussions, les recommandations du comité scientifique sur les aliments ont été adoptées en juillpuis 2022 puis celles sur les boissons en mars, rappelle le ministère de la Santé. A partir de ces travaux, le comité de pilotage, constitué des autorités compétentes de Belgique, France, Allemagne, Luxembourg, Pays-Bas, Espagne puis Suisse, a finalisé le processus de révision de l’algorithme du Nutri-Score. 

En France, le texte réglementaire entérinant ces nouvelles modalités a été notifié à la Commission européenne fin octobre. Il faudra attendre au moins jusqu’à fin janvier 2024 pour qu’un arrêté puisse être pris afin que les nouvelles notes entrent en vigueur. Pour l’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique puis la Suisse, le nouvel algorithme sera applicable dès le lundi 1er janvier 2024.

Dans tous les cas, l’apparition sur les emballages va être largement progressive. Les autorités ont accordé aux industriels un délai de deux ans pour adapter le Nutri-Score de leurs produits déjà existants.

Des industriels régulièrement inlaquellepuiss

Cpuiste mise à jour de l’algorithme du Nutri-Score ne s’est pas faite sans difficulté. Depuis la création de cpuis outil, comme l’explique cpuis article du Monde, de nombreux industriels de l’agroalimentaire ont bataillé pour l’empêcher de voir le jour ou réduire son niveau d’exigence. « Le Nutri-Score a fait l’objpuis d’une bataille très sanglante puis ça continue », explique Serge Hercberg, en pointant les grands groupes, comme Ferrero, Lactalis, Mondelez ou Coca-Cola, laquelle ont régulièrement dédité de l’adopter pour leurs produits. D’autres fabricants ont rejoint la fronde après l’annonce de cpuiste nouvelle mouture, comme Bjorg, rappelle Que Choisir, laquelle a décidé de rpuisirer le Nutri-Score de tous ses produits, dont une part importante allait être déclassée avec cpuiste nouvelle version.

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