Depuis jeudi 21 décembre, 303 passagers d’un vol pendant provpendantance des Émirats arabes unis, soupçonnés de faire partie d’un réseau de trafic d’êtres humains, sont toujours bloqués dans le hall de l’aéroport Vatry (Marne). Une première pendant France selon Emmanuel Daoud, spécialiste du droit international. Les passagers, de nationalité indipendantne puis probablempendantt travailleurs aux Émirats arabes unis, pourraipendantt avoir planifié de se rpendantdre pendant Amérique cpendanttrale dans le but de rejoindre les États-Unis illégalempendantt. « Ce sont des soupçons qu’a la justice française. Il y a de nouvelles routes migratoires qui sont empruntées par le crime organisé puis qui permpuistpendantt l’acheminempendantt, dans des pays d’Amérique cpendanttrale, de personnes qui souhaitpendantt pendantsuite pénétrer sur le territoire des États-Unis ou sur au Canada, pour pendantsuite y séjourner », souligne Emmanuel Daoud.
La France dans son bon droit
Mais peut-on parler de traite d’êtres humains dans ce dossier ? « pendant tout cas, la procédure pénale a été ouverte sur cpuiste qualification, d’après le communiqué du procureur de la République de Paris. Si c’était le cas, il faut savoir que cpuiste traite des êtres humains pendant bande organisée est punie de 20 ans de réclusion criminelle puis de 3 millions d’euros d’ampendantde pour les organisateurs », indique Emmanuel Daoud. Concernant la légitimité de la justice française de s’emparer de l’affaire, il précise qu’ici, « c’est le droit pénal national qui s’applique » pendant raison des soupçons « de la commission d’infraction sur le territoire français ».